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Emblématique coach de l’équipe fanion de Cugnaux, Lorianne Verain reviens avec nous sur son excellent parcours lors de cette édition 2022/2023 avec sa team de Diablesses.

Quel bilan global pouvez vous faire de la saison de votre équipe ?
– Bonjour Mika, le bilan est positif. On s’est régalés. Les 6 déplacements dans les landes sont passés comme une lettre a la poste ! Rires ! Ça a une nouvelle fois été une année riche, intéressante, pleine d’apprentissage…

Les objectifs de début de saison ont ils étaient respectés ?
– On s’était fixé le top 2. C’est chose faite… C’est cohérent et mérité.

Lorianne Verain est la chef d’orchestre d’une JSC conquérante, proposant un joli jeu à voir et à jouer, une experte dans le coaching (Photo : Michael Chaboy)

Le niveau de votre escouade répond t’il aux ambitions fixées en début de saison ?
– Au delà du top 2. On voulait aussi proposer un jeu sympa à regarder. Les échos ont été positifs à domicile comme a l’extérieur et ça, ça fait plaisir ! Bien-sûr que nous sommes passés a côté de certains matchs. C’est comme ça… Ça fait parti du jeu. Néanmoins, je crois qu’on laisse une belle image. Ça compte pour moi.

Votre meilleur souvenir sur cette saison ?
– Je n’en ai pas vraiment un en particulier. J’ai apprécié jouer dans l’amphithéâtre a Rodez, un samedi soir… J’ai apprécié jouer a domicile contre Avenir Chalosse dans une salle comble et pleine d’ambiance un samedi soir également… Je crois que j’ai particulièrement aimé jouer le samedi soir rire !

Votre plus gros regret sur cette édition 2022/2023 ?
– Je n’en ai pas. Les regrets ne servent à rien. Il faut accepter ce qui est. L’acceptation dans le sport, au boulot, dans la vie, est essentielle. Les regrets c’est ressasser le passé. Je préfère vivre le présent. Je suis véritablement reconnaissante d’avoir vécu une énième saison à la JS Cugnaux.

Un dernier mot avant de partir en vacance ?
– La saison des barbecues est bientôt lancée ! Et ça, ça n a pas de prix ! Et puis, évidemment, Merci basket 31… D’être là, de prendre le temps et suivre tout ce bon monde de près comme de loin …

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