Après avoir rendu de fiers services à l’Union pendant sept saisons hautes en couleurs, le technicien franco-américain vole de ses propres ailes en rejoignent l’Étoile de Charleville-Mézières.
Cela devait bien arriver un jour. Après sept ans de bons et loyaux services à la tête de l’Union chez les séniors mais aussi chez les jeunes, Alexandre Casimiri (45 ans) quitte la Bigorre pour aller se tester en Pro B.
A la tête de l’UTLPB, le technicien n’a connu que des réussites, avec trois montées consécutives menant de la prénationale à la Nationale 1, ainsi que deux qualifications en playoffs de NM1.
Cette saison a d’ailleurs été la plus réussie sur le plan comptable, avec une défaite à la belle des demi-finale face à Souffelweyersheim.
Une bonne manière pour coach Casimiri de partir du club bigourdan par la grande porte pour aller chercher un nouveau défi à sa mesure.
Au sein du club carolomacérien, le Franco-Américain va d’ailleurs retrouver un challenge assez similaire à celui qu’il a dû mener dans les Hautes-Pyrénées, à savoir constituer une équipe compétitive et faire des miracles sans avoir de gros moyens financiers.
Assistant au TGB en Ligue Féminine puis à Limoges en Pro B avant de connaître sa première expérience de coach principal à Toulouges en Nationale 1, le désormais ex-entraîneur de Tarbes-Lourdes va donc connaître une nouvelle expérience dans le monde du basket professionnel.
A Charleville-Mézières, Casimiri sait que la tâche ne sera pas aisée puisqu’il y remplace Cédric Heitz, qui a amené l’équipe de la Nationale 1 à la cinquième place de Pro B, et qui dirigera Chalons-Reims en Pro A à la rentrée.
Voici donc un défi à la hauteur du personnage, qui aura marqué quoi qu’il arrive l’UTLPB et les Hautes-Pyrénées de son empreinte.
[…] le savait, le départ d’Alexandre Casimiri à Charleville-Mézières était un énorme coup dur pour Tarbes-Lourdes […]