Désormais à la tête du Garonne ASPTT, Yann Fonteneau affronte ce vendredi soir l’équipe de Tarbes-Lourdes pour un match de gala organisé par le Montauban Basket Club. Entretien.
Bonjour Yann, vous voici à la tête du GAB après trois saisons à Toulouse. Comment s’est déroulé votre prise de fonction et la finalisation du recrutement ?
A mon arrivée, j’ai été très bien accueilli par le président Serge Casagrande et le Manager Général Eric Chambaudet, ce qui a facilité ma prise de fonction.
Mon adjoint Laurent Baudequin, qui faisait déjà partie de l’avantage la saison dernière, a également joué un rôle important.
Concernant le recrutement, certains dossiers étaient déjà réglés avant mon arrivée et les autres étaient en cours.
Nous avons échangé avec Serge et Eric et nous étions sur la même longueur d’ondes. C’est donc naturellement que nous avons bouclé l’effectif.
Cela fait maintenant deux semaines que nous avons démarré notre préparation. Le groupe est très réceptif et travaille bien.
Quelles sont les objectifs de votre équipe cette saison, où vous retrouverez Toulouse dans la poule A ?
Nous visons une place dans les 5/6 premiers, même si il y a beaucoup d’incertitudes concernant les équipes du Sud-Est sur lesquelles nous n’avons pas de recul.
Dans ce match de gala, vous allez affronter Tarbes-Lourdes, une équipe du niveau supérieur. Que pensez-vous de cet adversaire ?
Pour nous ce match est très belle opportunité pour travailler face à un adversaire qui évolue au niveau supérieur, avec des joueurs d’expérience et de fortes individualités.
Même si nous sommes encore au début de notre préparation, ce match nous permettra de faire une première évaluation de notre potentiel.
Pour finir, vous avez décroché cette saison une médaille d’Or en équipe de France U18. Pouvez-vous nous raconter brièvement cette épopée ?
Ce fut une expérience formidable : une groupe talentueux, déterminé et très agréable à vivre. Un staff technique et médical super.
Bref, tout était réuni pour réaliser quelque chose de grand et on l’a fait. Après trois finales consécutives perdues, ça fait vraiment plaisir.